L'être humain et les grands singes sont sensibles aux maladies infectieuses, l'introduction d'agents pathogènes humains au sein de la population de grands singes pourrait entraîner des pertes catastrophiques.
Selon Johannes Refisch, directeur et coordinateur de programme au Partenariat pour la survie des grands singes des Nations unies La recherche sur les grands singes a permis de faire découvrir les chimpanzés, les bonobos, les gorilles et les orangs-outans, le tourisme a même permis à certains voyageurs de les observer de très près. Le tourisme axé sur les grands singes constitue également une source importante de revenus pour les gouvernements et les communautés : une part importante de ces revenus est réinvestie dans la protection des espèces menacées et de leurs habitats naturels.
Cependant, les maladies infectieuses telles que le COVID-19, causées par le virus CoV-2 du SRAS, sont une préoccupation majeure pour la conservation des grands singes
Chez l'homme, le virus CoV-2 du SRAS est très infectieux et peut survivre dans l'environnement pendant quelques jours. Cela étant, on peut supposer que les grands singes y sont sensibles et faire en sorte qu'ils ne soient pas infectés.
Rappelons qu’en République Démocratique du Congo, l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature a pris des mesures strictes pour à l’abri toutes les aires protégées.
SERGE GATA
01 Octobre 2024
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